Stéphanie Roussel, danseuse, chorégraphe et professeure de danse contemporaine, est diplômée d'Etat.
Elle crée la Compagnie La Clepsydre en 1985 avec Frédérique Robert.
Les créations transdisciplinaires réunissant danseurs, musiciens et comédiens se succèdent à Paris (Ménagerie de Verre, Regard du Cygne, Cirque d'Hiver, Théâtre de l'Etoile du Nord, Théâtre de Châtillon, Chapiteau français de la Danse...), Lyon, Marseille, Lille, Avignon, Aix-en-Provence, Arles..
Les pièces Anaïs Ophiure, Son Rire…, Terre de Sienne, Noyade interdite, Scott et Adèle, L'Escalier des aveugles remportent un vif succès auprès du public et de la presse.
De 1988 à 1994, Brigitte Hyon, alors directrice artistique et pédagogique des Rencontres internationales de la danse contemporaine à Paris (RIDC), lui commande plusieurs créations pour 20 à 30 danseurs en formation.
En 1990, avec Christine Bastin, elle signe à Laon Porte des champs et des jardins, spectacle itinérant pour 40 danseurs, amateurs et professionnels, commandé par le Ministère de la Culture.
De 1995 à 2004, elle monte une dizaine de pièces pour la section danse-étude de l'Institut national des sciences appliquées de Lyon (INSA) : toutes les musiques sont originales, composées, interprétées et mixées par les danseurs sous la direction du compositeur-interprète Jean-Pierre Caporossi.
De 1996 à 1998, elle crée, avec un collectif de chorégraphes, la Biennale de la danse Off de Lyon; au programme : 10 jours, 30 chorégraphes.
En 1998, 2000 et 2002, elle est chargée par Guy Darmet, directeur de la Biennale de la danse de Lyon, de prendre la direction artistique des villes de Bron et de Vénissieux pour le défilé de la Biennale, où elle dirige jusqu'à 300 personnes.
Elle participe en 2002 au projet Mémoire vive conçu par Fabrice Dugied. On y questionne la mémoire et les traces laissées par les pionniers. Un hommage est rendu à Jacqueline Robinson sous forme de création collective pour le Centre chorégraphique national (CCN) de Belfort et le Regard du Cygne à Paris.
En 2004, elle rencontre Gil Isoart, sujet à l'Opéra de Paris, qui lui demande de danser pour elle. Elle lui écrit, avec Ingrid Keusemann, un solo pour la Maison du Théâtre et de la Danse (MTD) d’Épinay-sur-Seine.
En 2004, dans le cadre du projet "Danser, jouer et vivre les diversités culturelles jusque dans les campagnes", en partenariat avec la Fédération des oeuvres laïques et le Conseil général des Côtes d'Armor, elle crée une pièce pour les jardins du Château de la Roche-Jagu avec une trentaine de jeunes de 15 à 25 ans, tunisiens, italiens, polonais et allemands venant pour la première fois en France et n'ayant jamais pratiqué la danse.
En 2004, elle fonde avec Frédérique Robert le collectif Chantier Majeur, espace d'échanges et d'investigations, autour des axes fondamentaux que sont la création, la recherche et la transmission : création de Bazar et Miniatures, coproduction du Temps d'un Regard.
Elle accompagne aussi des personnes autistes sur différents projets de création avec Véronique Frélaut : Lignes de fuite (2007), Parcours poétique inattendu in situ (2009), Beuys Beuys (2013), Les Arpenteurs (2014).
En 2007, pour les 20 ans du Centre de création vocale et scénique (CREA) dirigé par Didier Grosjman, elle réalise la mise en scène et la chorégraphie de L'Ile du temps perdu (d'après le roman éponyme de Silvana Gandolfi) avec 60 chanteurs, enfants et adultes.
En 2008, elle monte Les Petits Riens de Mozart avec le chef d'orchestre Thierry Pélican et l’Union des conservatoires de l’Oise (UCEM60) pour une quarantaine de danseurs.
En 2009, elle orchestre le festival « Les habitants ont du talent » avec la Fédération des centres sociaux de l'Essonne pour une dizaine de villes et une centaine de participants.
En 2014-2015, elle met en scène et chorégraphie la pièce de théâtre Les Bottes en or, qui se joue au Festival d'Avignon et à Paris.
En 2015, elle est invitée par Simon-Pierre Bestion, directeur du choeur The Tempest, à mettre en scène et à chorégraphier l'opéra contemporain The Tempest d'après William Shakespeare, qui réunit 50 chanteurs, musiciens et danseurs professionnels, à l'abbaye de Royaumont et au Collège des Bernardins à Paris.
De 2011 à aujourd'hui, en collaboration étroite avec le Théâtre des Passerelles de Pontault-Combault où elle est artiste associée en résidence permanente, elle crée Vertigo (35 danseurs) et Abyss (deux danseuses, une chanteuse-comédienne) avec l'ensemble The Noise Consort, 77... A l'infini au Centre photographique d'Île-de-France dans le cadre des 40 ans du Centre Pompidou, mais aussi Jardins imprévus, Bal des pas perdus, Los Angeles Games Connection, Suspension.
Elle crée régulièrement des performances auprès de tous les publics : dernièrement, Danses! pour le Printemps des poètes, et Eclaircie pour le festival Art en ballade sur la coulée verte à Paris.
Les créations transdisciplinaires réunissant danseurs, musiciens et comédiens se succèdent à Paris (Ménagerie de Verre, Regard du Cygne, Cirque d'Hiver, Théâtre de l'Etoile du Nord, Théâtre de Châtillon, Chapiteau français de la Danse...), Lyon, Marseille, Lille, Avignon, Aix-en-Provence, Arles..
Les pièces Anaïs Ophiure, Son Rire…, Terre de Sienne, Noyade interdite, Scott et Adèle, L'Escalier des aveugles remportent un vif succès auprès du public et de la presse.
De 1988 à 1994, Brigitte Hyon, alors directrice artistique et pédagogique des Rencontres internationales de la danse contemporaine à Paris (RIDC), lui commande plusieurs créations pour 20 à 30 danseurs en formation.
En 1990, avec Christine Bastin, elle signe à Laon Porte des champs et des jardins, spectacle itinérant pour 40 danseurs, amateurs et professionnels, commandé par le Ministère de la Culture.
De 1995 à 2004, elle monte une dizaine de pièces pour la section danse-étude de l'Institut national des sciences appliquées de Lyon (INSA) : toutes les musiques sont originales, composées, interprétées et mixées par les danseurs sous la direction du compositeur-interprète Jean-Pierre Caporossi.
De 1996 à 1998, elle crée, avec un collectif de chorégraphes, la Biennale de la danse Off de Lyon; au programme : 10 jours, 30 chorégraphes.
En 1998, 2000 et 2002, elle est chargée par Guy Darmet, directeur de la Biennale de la danse de Lyon, de prendre la direction artistique des villes de Bron et de Vénissieux pour le défilé de la Biennale, où elle dirige jusqu'à 300 personnes.
Elle participe en 2002 au projet Mémoire vive conçu par Fabrice Dugied. On y questionne la mémoire et les traces laissées par les pionniers. Un hommage est rendu à Jacqueline Robinson sous forme de création collective pour le Centre chorégraphique national (CCN) de Belfort et le Regard du Cygne à Paris.
En 2004, elle rencontre Gil Isoart, sujet à l'Opéra de Paris, qui lui demande de danser pour elle. Elle lui écrit, avec Ingrid Keusemann, un solo pour la Maison du Théâtre et de la Danse (MTD) d’Épinay-sur-Seine.
En 2004, dans le cadre du projet "Danser, jouer et vivre les diversités culturelles jusque dans les campagnes", en partenariat avec la Fédération des oeuvres laïques et le Conseil général des Côtes d'Armor, elle crée une pièce pour les jardins du Château de la Roche-Jagu avec une trentaine de jeunes de 15 à 25 ans, tunisiens, italiens, polonais et allemands venant pour la première fois en France et n'ayant jamais pratiqué la danse.
En 2004, elle fonde avec Frédérique Robert le collectif Chantier Majeur, espace d'échanges et d'investigations, autour des axes fondamentaux que sont la création, la recherche et la transmission : création de Bazar et Miniatures, coproduction du Temps d'un Regard.
Elle accompagne aussi des personnes autistes sur différents projets de création avec Véronique Frélaut : Lignes de fuite (2007), Parcours poétique inattendu in situ (2009), Beuys Beuys (2013), Les Arpenteurs (2014).
En 2007, pour les 20 ans du Centre de création vocale et scénique (CREA) dirigé par Didier Grosjman, elle réalise la mise en scène et la chorégraphie de L'Ile du temps perdu (d'après le roman éponyme de Silvana Gandolfi) avec 60 chanteurs, enfants et adultes.
En 2008, elle monte Les Petits Riens de Mozart avec le chef d'orchestre Thierry Pélican et l’Union des conservatoires de l’Oise (UCEM60) pour une quarantaine de danseurs.
En 2009, elle orchestre le festival « Les habitants ont du talent » avec la Fédération des centres sociaux de l'Essonne pour une dizaine de villes et une centaine de participants.
En 2014-2015, elle met en scène et chorégraphie la pièce de théâtre Les Bottes en or, qui se joue au Festival d'Avignon et à Paris.
En 2015, elle est invitée par Simon-Pierre Bestion, directeur du choeur The Tempest, à mettre en scène et à chorégraphier l'opéra contemporain The Tempest d'après William Shakespeare, qui réunit 50 chanteurs, musiciens et danseurs professionnels, à l'abbaye de Royaumont et au Collège des Bernardins à Paris.
De 2011 à aujourd'hui, en collaboration étroite avec le Théâtre des Passerelles de Pontault-Combault où elle est artiste associée en résidence permanente, elle crée Vertigo (35 danseurs) et Abyss (deux danseuses, une chanteuse-comédienne) avec l'ensemble The Noise Consort, 77... A l'infini au Centre photographique d'Île-de-France dans le cadre des 40 ans du Centre Pompidou, mais aussi Jardins imprévus, Bal des pas perdus, Los Angeles Games Connection, Suspension.
Elle crée régulièrement des performances auprès de tous les publics : dernièrement, Danses! pour le Printemps des poètes, et Eclaircie pour le festival Art en ballade sur la coulée verte à Paris.
Depuis 1977, Stéphanie Roussel enseigne la danse contemporaine auprès de tous les publics, amateurs et professionnels. Elle dirige des masterclasses, des cours techniques et de perfectionnement, des workshops et ateliers d'improvisation et de composition, des cours de musique en mouvement, prépare aux concours de danse et au diplôme d'enseignement, coache de jeunes chorégraphes, participe à la formation de futurs professeurs...
Dans les grandes ecoles
De 1980 à 1982, à la demande de Karin Waehner, figure majeure de la danse moderne en France, elle enseigne aux enfants de la Schola Cantorum de Paris.
De 1980 à 1994, elle donne des workshops hebdomadaires pour amateurs confirmés à l'Atelier de la Danse de Paris (Jacqueline Robinson).
De 1988 à 1997, elle forme des danseurs en voie de professionnalisation par des cours techniques et prépare des candidats à l'Examen d'aptitudes techniques (variations du Ministère de la Culture) ainsi qu'au Diplôme d’Etat avec l'UV de Pédagogie, et ce dans toute la France, notamment aux Rencontres internationales de danse contemporaine (RIDC) de Paris, à Danse Création (Lille) et au Creuset (Lyon).
En 1994, elle dirige des cours de perfectionnement technique et d'improvisation pour danseurs professionnels au Centre national de la danse (CND) de Lyon dans le cadre d'une session « Danse et kinésiologie ». Elle est également invitée à rejoindre le comité de direction du Creuset, centre de travail du danseur professionnel à Lyon, où elle dispense un Entraînement quotidien du danseur jusqu'en 1998.
En 1996, elle est invitée par Pascal Minam-Borier, directeur de l'Ecole du Ballet du Nord (Roubaix) à donner des cours techniques de danse contemporaine pour danseurs classiques et à les préparer au concours du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP).
De 1996 à 2004, elle est professeure à l'Institut national des sciences appliquées (INSA) de Lyon dans la section internationale de danse-études (EURINSA, AMERINSA et ASINSA) auprès des étudiants ingénieurs. Elle se passionne pour la rencontre des différentes cultures et aborde le corps et la danse comme outil et moyen universels de communication, questionnement qu'elle met au cœur de son projet artistique et pédagogique.
Durant cette période, elle est régulièrement appelée à siéger au jury du Baccalauréat, option Danse.
Entre 1999 et 2011, elle donne des ateliers aux étudiants et professeurs-chercheurs de l'Ecole normale supérieure de Lyon et de celle de la rue d'Ulm à Paris.
Depuis 2012, elle dirige à Micadanses (Paris) le workshop mensuel Donner du corps à l'intention qui réunit amateurs et professionnels.
De 1980 à 1994, elle donne des workshops hebdomadaires pour amateurs confirmés à l'Atelier de la Danse de Paris (Jacqueline Robinson).
De 1988 à 1997, elle forme des danseurs en voie de professionnalisation par des cours techniques et prépare des candidats à l'Examen d'aptitudes techniques (variations du Ministère de la Culture) ainsi qu'au Diplôme d’Etat avec l'UV de Pédagogie, et ce dans toute la France, notamment aux Rencontres internationales de danse contemporaine (RIDC) de Paris, à Danse Création (Lille) et au Creuset (Lyon).
En 1994, elle dirige des cours de perfectionnement technique et d'improvisation pour danseurs professionnels au Centre national de la danse (CND) de Lyon dans le cadre d'une session « Danse et kinésiologie ». Elle est également invitée à rejoindre le comité de direction du Creuset, centre de travail du danseur professionnel à Lyon, où elle dispense un Entraînement quotidien du danseur jusqu'en 1998.
En 1996, elle est invitée par Pascal Minam-Borier, directeur de l'Ecole du Ballet du Nord (Roubaix) à donner des cours techniques de danse contemporaine pour danseurs classiques et à les préparer au concours du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP).
De 1996 à 2004, elle est professeure à l'Institut national des sciences appliquées (INSA) de Lyon dans la section internationale de danse-études (EURINSA, AMERINSA et ASINSA) auprès des étudiants ingénieurs. Elle se passionne pour la rencontre des différentes cultures et aborde le corps et la danse comme outil et moyen universels de communication, questionnement qu'elle met au cœur de son projet artistique et pédagogique.
Durant cette période, elle est régulièrement appelée à siéger au jury du Baccalauréat, option Danse.
Entre 1999 et 2011, elle donne des ateliers aux étudiants et professeurs-chercheurs de l'Ecole normale supérieure de Lyon et de celle de la rue d'Ulm à Paris.
Depuis 2012, elle dirige à Micadanses (Paris) le workshop mensuel Donner du corps à l'intention qui réunit amateurs et professionnels.
En milieu scolaire
Entre 1998 et 2007, elle participe à de nombreuses actions à caractère pédagogique en maternelle, à l'école primaire et au collège autour de Paris et de Lyon, et dirige des projets musique et danse où elle aborde les programmes de mathématiques et de français par un travail sur l'espace, le temps, la forme et le mouvement, avec notamment le soutien de la Fondation de France. Elle est invitée par Brigitte Hyon, directrice du département Formation et Pédagogie/Education Artistique et Culturelle du Centre national de la danse (CND) de Paris, à prendre en charge plusieurs classes de 2e et 3e sections de maternelle. Elle participe aussi au projet multidisciplinaire Banc de passions avec la Cie Keuseman-Fleury et Frédérique Robert.
Elle dispense des formations pédagogiques aux instituteurs et professeurs des écoles et leur transmet des outils artistiques leur permettant de mener par eux-mêmes des ateliers avec leurs élèves, notamment avec Claire Jenny pour le projet L'Enfant créateur en 2005 et 2006
Elle dispense des formations pédagogiques aux instituteurs et professeurs des écoles et leur transmet des outils artistiques leur permettant de mener par eux-mêmes des ateliers avec leurs élèves, notamment avec Claire Jenny pour le projet L'Enfant créateur en 2005 et 2006
Dans les conservatoires
Entre 1988 et 2006, elle est professeure au Conservatoire de Châtillon, au Conservatoire de Livry-Gargan puis au Conservatoire à rayonnement communal (CRC) de Champigny-sur-Marne, des classes d'éveil jusqu'aux niveaux avancés.
De 2005 à 2011, elle enseigne au Conservatoire à Rayonnement Départemental (CRD) de Musique et de Danse de la Communauté d’agglomération du Val d’Yerres (91) pour les Classes à horaires aménagés (CHAD). Elle propose également une préparation aux concours des Conservatoires à rayonnement régional (CRR) et du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP).
De 2009 à fin 2022, elle poursuit son activité dans les Conservatoires de Paris-Vallée de la Marne de Roissy-Pontault, où elle dirige le Département Danse. A ce titre, elle met en place, spécifiquement pour les musiciens, des cours de musique en mouvement avec Olivier Innocenti ainsi que des cours d'accompagnement du cours de danse. Elle crée aussi un atelier pour les comédiens afin d'accroître leur présence scénique, et élabore un projet d'atelier pour accueillir des personnes en fauteuil. Elle enseigne à tous les niveaux, des classes d'éveil au 3e cycle, prépare aux concours des CRR et CNSMDP, ainsi qu'à l'option Danse du Baccalauréat général. Elle donne par ailleurs des cours de culture chorégraphique, d'anatomie fonctionnelle du corps dans le mouvement dansé, et d'histoire de la danse.
De 2005 à 2011, elle enseigne au Conservatoire à Rayonnement Départemental (CRD) de Musique et de Danse de la Communauté d’agglomération du Val d’Yerres (91) pour les Classes à horaires aménagés (CHAD). Elle propose également une préparation aux concours des Conservatoires à rayonnement régional (CRR) et du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP).
De 2009 à fin 2022, elle poursuit son activité dans les Conservatoires de Paris-Vallée de la Marne de Roissy-Pontault, où elle dirige le Département Danse. A ce titre, elle met en place, spécifiquement pour les musiciens, des cours de musique en mouvement avec Olivier Innocenti ainsi que des cours d'accompagnement du cours de danse. Elle crée aussi un atelier pour les comédiens afin d'accroître leur présence scénique, et élabore un projet d'atelier pour accueillir des personnes en fauteuil. Elle enseigne à tous les niveaux, des classes d'éveil au 3e cycle, prépare aux concours des CRR et CNSMDP, ainsi qu'à l'option Danse du Baccalauréat général. Elle donne par ailleurs des cours de culture chorégraphique, d'anatomie fonctionnelle du corps dans le mouvement dansé, et d'histoire de la danse.
Masterclasses transdisciplinaires
Depuis 1997, elle donne de nombreuses masterclasses, notamment aux musiciens du Concert Impromptu (2004-2006), à des professeurs de musique et de danse au Couvent des Ursulines de Château-Gontier (2005), à des circassiens et comédiens au Centre chorégraphique national (CCN) de Belfort (1997), à des comédiens, conteurs, marionnettistes et musiciens au Centre d'art contemporain de Kerguéhennec (2004), à des musiciens professionnels sur la demande du label Universal Music et en partenariat avec le Conservatoire de Suresnes (2010), aux comédiens de l'Atelier Premier Acte au Théâtre du Petit Saint-Martin à Paris (2011-2012)..
DANSE et handicap
Depuis 2009, elle dirige un atelier pour enfants et adolescents autistes ou handicapés mentaux à L'Oasis de Savigny-sur-Orge.
Elle est régulièrement invitée à intervenir auprès d'adultes en situation de handicap psychique ou mental accueillis en hôpital de jour.
Elle est régulièrement invitée à intervenir auprès d'adultes en situation de handicap psychique ou mental accueillis en hôpital de jour.
Fille de Serge Roussel, grand photographe portraitiste, et d'Anne-Marie Marq, créatrice de mode et costumière, Stéphanie Roussel grandit à Paris et commence à danser dès qu’elle sait marcher. A l'âge de quatre ans, elle rentre à L'Atelier de la Danse à Montmartre, l'école de Jacqueline Robinson, pionnière de la danse moderne en France, et participe à la majorité des spectacles. Elle commence aussitôt à composer des soli et en écrira un par an pendant les quarante années suivantes.
Elle poursuit sa formation au Centre international de la danse (CID) de Paris où elle étudie les techniques de Martha Graham, José Limón, Doris Humphrey, Merce Cunningham et travaille avec Alwin Nikolaïs, Murray Louis, Carolyn Carlson, François Verret, Josef Nadj, Hervé Diasnas, Mary Hinkson, Yuriko, Betty Jones, Fritz Ludin, Noemi Lapzeson, Suzon Holzer. Dès l'âge de 18 ans, elle met en place et dirige avec le flûtiste Sébastien Marq des ateliers musique et danse. Les élèves, danseurs et musiciens, y apprennent à mettre la technique au service de la créativité. De 1977 à 1987, elle danse dans plusieurs compagnies françaises et joue dans divers court-métrages sélectionnés dans des festivals de cinéma. En 1984, elle est finaliste au Concours international de danse de Paris et, en 1985, au Concours chorégraphique international de Bagnolet. Elle obtient les premiers prix de chorégraphie des concours Volinine (1986) et de Châtillon (1987). |